««« amor­ce »»»

« amorce » ou « amorces » dans :
Du Bellay
1550
~ Ces cheveux d’or, ce front…
Ron­sard
1552
~ Ce ne sont qu’haims…
Grévin
1560
~ Plus je suis tour­men­té…
~ L’Amour nous point, nous brûle…
Turrin
1572
~ [Le mois de Mars…
Rous­peau
1584
~ De Samson, de David…
Bi­rague
1585
~ Ton poil doré…
Desaurs
1589
~ Beaux yeux, non pas des yeux…
Claude Gar­nier
1604
~ [Quiconque en sa froi­deur…
Bachet
1620
~ Amour où prit-il l’or…

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Amorce. Traî­tresse, allé­chante, douce, cap­tieuse, appâ­tée, at­trayante, fine, mor­telle, atti­rante, em­miel­lée, friande.

Maurice de LA PORTE, Les Épithètes, 1571,
f° 13v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_33]
(texte modernisé).

[Amor­çant /-ante. Appât, dou­ceur.]

[Amorcé. Allè­che­ment, ha­me­çon ou haim.]

[Amorce de tous maux. Vo­lup­té.]

[Voir aussi attrait, blan­dis­se­ment et blan­dices.]


 

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Amorce. Trai­tresse, alle­chante, douce, cap­tieuse, appas­tee, at­traiante, fine, mor­telle, atti­rante, em­miel­lee, friande.

Maurice de LA PORTE, Les Epithetes, 1571,
f° 13v° [Gallica, NUMM-50715, PDF_33]
(texte original).

[Amor­çant /-ante. Appast, dou­ceur.]

[Amorcé. Alle­che­ment, ha­me­çon ou haim.]

[Amorce de tous maux. Vo­lup­té.]

[Voir aussi attrait, blandis­se­ment & blan­dices.]