Mon
Dieu
le beau
téton,
mon
tout, ma doucelette,
Que je vois apparoir par-dessous ton
collet :
Il soupire toujours, las qu’il est
rondelet,
Et garni par-dessus d’une
peau
blanchelette.
Laisse le moi toucher, ma
petite
garcette,
Laisse-moi lui donner un
baiser
doucelet,
Eh bon
Dieu
quel plaisir !
il est si
joliet
Que je ne vis jamais charnure si
parfaite.
Or sus baille-le-moi, je le veux mignoter,
Je le veux manier, je le veux suçoter,
Pour en sucrer le
bout
de ma langue
ravie.
Va-t’en, retire-le, je suis
tant appâté,
Je suis tant ébloui, pour l’avoir
suçoté,
Que de trop de
douceur,
je sens couler ma
vie.
Mon
Dieu
le beau
téton,
mon
tout, ma doucelette,
Que je vois apparoir par-dessous ton
collet :
Il soupire toujours, las qu’il est
rondelet,
Et garni par-dessus d’une
peau
blanchelette.
Laisse le moi toucher, ma
petite
garcette,
Laisse-moi lui donner un
baiser
doucelet,
Eh bon
Dieu
quel plaisir ! il est si
joliet
Que je ne vis jamais charnure si
parfaite.
Or sus baille-le-moi, je le veux mignoter,
Je le veux manier, je le veux suçoter,
Pour en sucrer le
bout
de ma langue
ravie.
Va-t’en, retire-le, je suis
tant appâté,
Je suis tant ébloui, pour l’avoir
suçoté,
Que de trop de
douceur,
je sens couler ma
vie.
En ligne le
10/10/17.
Dernière révision le 17/12/22.