Ô
pas
épars,
ô penser
vagabond,
Ô souvenir
constant,
ô
fière
ardeur,
Ô
fort
désir,
ô
imbécile
cœur,
Ô mes yeux,
yeux
non, mais fontaines
sont.
Ô
Dame,
qui me fais hausser le
front,
Ô seule enseigne
au
Poétique
cœur,
Ô vie
trop
peineuse,
ô
doux
erreur,
Qu’aller me fais par
plaines
et par mont.
Ô
beau
regard
auquel l’amour
a mis
L’épron,
et frein,
dont il me tourne, et pique,
Comme il lui plaît, sans pouvoir résister.
Ô vous
gentils,
et
amoureux
esprits,
Vous ombres ?
qu’on voit par le
monde
errer,
Voyez l’ennui
que me donne Angélique.
Ô
pas
épars,
ô penser
vagabond,
Ô souvenir
constant,
ô
fière
ardeur,
Ô
fort
désir,
ô
imbécile
cœur,
Ô mes yeux,
yeux
non, mais fontaines
sont.
Ô
Dame,
qui
me fais hausser le
front,
Ô seule enseigne
au
Poétique
cœur,
Ô vie
trop
peineuse,
ô
doux
erreur,
Qu’aller me fais par
plaines
et par mont.
Ô
beau
regard
auquel l’amour
a mis
L’épron,
et frein,
dont il me tourne, et pique,
Comme il lui plaît, sans pouvoir résister.
Ô vous
gentils,
et
amoureux
esprits,
Vous ombres ?
qu’on voit par le
monde
errer,
Voyez l’ennui
que me donne Angélique.
En ligne le
15/05/16.
Dernière révision le 23/09/21.