J’aime ce
teint
comme roses
vermeil,
J’aime du front
cette rondeur
parfaite,
J’aime des dents
la blancheur
pure
et nette
Sous un corail
qui rougit sans pareil.
J’aime du
ris,
des transis le réveil,
Aux deux côtés la
jumelle
fossette,
J’aime au menton
cette
double
bossette,
J’aime cet œil
qui fait honte
au Soleil.
J’aime du
poil
le blondoyant
ondage,
J’aime du nez
(ornement
du visage)
Le beau
profil par mesure
étendu.
Mais surtout j’aime une
sagesse
rare
En ce parler,
qui mes esprits
égare,
Pillant mon cœur
de merveille
éperdu.
J’aime
ce teint
comme roses
vermeil,
J’aime du
front
cette rondeur
parfaite,
J’aime des
dents
la blancheur
pure
et nette
Sous un
corail
qui rougit sans pareil.
J’aime
du ris,
des transis le réveil,
Aux deux
côtés la
jumelle
fossette,
J’aime au
menton
cette
double
bossette,
J’aime cet
œil
qui fait honte
au Soleil.
J’aime
du poil
le blondoyant
ondage,
J’aime du
nez
(ornement
du visage)
Le
beau
profil par mesure
étendu.
Mais
surtout j’aime une
sagesse
rare
En ce
parler,
qui mes esprits
égare,
Pillant mon
cœur
de merveille
éperdu.
En ligne le
09/09/17.
Dernière révision le 23/09/23.