Est-ce cet
œil
riant
le soleil
de ma vie,
Flambeau
duquel Amour
allume son
flambeau ?
Est-ce cet or
filé
de ce
beau
poil
si beau
Qu’il décolore
l’or
du lacs
d’or,
qui le lie ?
Est-ce ce
ris
serein
qui les âmes
dévie,
Les bienheurant de l’heur d’un
paradis
nouveau ?
Est-ce ce
doux
parler,
dont le
mielleux
ruisseau
Baigne l’esprit
ravi
par l’oreille
ravie ?
Qui m’ont
amorcéamors,
qui m’ont appâté doucement,
Qui m’ont ainsi lié plein
d’ébahissement
Dedans le feu
cuisant
que Francine m’attise ?
Si c’est cet
œil,
cet or,
ce parler
ou ce ris,
Au vrai je n’en sais rien : mais
d’amour
tout surpris
J’en sens la
chaude
flamme
en mes veines
éprise.
Est-ce
cet œil
riant
le soleil
de ma vie,
Flambeau
duquel Amour
allume son flambeau ?
Est-ce cet
or
filé
de ce
beau
poil
si beau
Qu’il
décolore l’or
du lacs
d’or, qui le lie ?
Est-ce
ce ris
serein
qui les âmes
dévie,
Les bienheurant de
l’heur
d’un
paradis
nouveau ?
Est-ce ce
doux
parler, dont le
mielleux
ruisseau
Baigne
l’esprit
ravi
par l’oreille
ravie ?
Qui
m’ont
amorcéamors,
qui m’ont
appâté doucement,
Qui m’ont
ainsi lié plein
d’ébahissement
Dedans le
feu
cuisant
que Francine
m’attise ?
Si
c’est cet
œil,
cet or,
ce parler
ou ce ris,
Au vrai je
n’en sais
rien :
mais d’amour
tout surpris
J’en
sens la
chaude
flamme
en mes veines
éprise.
En ligne le
20/09/25.
Dernière révision le 20/09/25.