Ni voir
d’un
paon
le plumage
hérissé,
Ni les chatons
enflés
de pierrerie,
Ni les habits
tissus en broderie,
Ni la roideur
d’un
lévrier
élancé,
Ni le
trésor
d’un
bouquet
agencé,
Ni le tapis
d’une
verte
prairie,
Ni les atours
d’une
tapisserie,
Ni les dessins d’un
palais
commencé,
Ni voir
les flots
des
rivières
bruyantes,
Ni les
Sylvains
et les
Nymphes
fuyantes,
Ne me pourraient maintenant contenter :
Non les
œillets
de leur
vive
écarlate,
Non les
odeurs
d’une
rose
incarnate,
Puisqu’il me faut de Madame absenter.
Ni voir
d’un
paon
le plumage
hérissé,
Ni les chatons
enflés
de pierrerie,
Ni les habits
tissus en broderie,
Ni la roideur
d’un
lévrier
élancé,
Ni le
trésor
d’un
bouquet
agencé,
Ni le tapis
d’une
verte
prairie,
Ni les atours
d’une
tapisserie,
Ni les dessins d’un
palais
commencé,
Ni voir
les flots
des
rivières
bruyantes,
Ni les
Sylvains
et les
Nymphes
fuyantes,
Ne me pourraient maintenant contenter :
Non les
œillets
de leur
vive
écarlate,
Non les
odeurs
d’une
rose
incarnate,
Puisqu’il me faut
de Madame absenter.
En ligne le
28/01/24.
Dernière révision le 04/11/24.