[…]
Je te sondais ainsi, ne souhaitant
qu’ouïr
Ton langage
emmiellé,
quand pour me réjouir
D’un
bel
œil, d’un
gai
front, et d’un
mignard
sourire,
Qui sa
douceur, sa
grâce, et sa
honte
soupire,
Sans
art,
sans
peur,
sans
feinte,
emblant, gagnant, flattant,
Mon
cœur, mon
sens,
mon
deuil :
tu me dis à l’instant.
Vous me pardonnerez si sans
scrupule
j’ose
Prendre en jeu
familier
votre douleur
enclose,
Et si ne pardonnant à vos
beaux
passe-temps,
Je vous colloque au rang
des Amis
de ce temps :
[…]
[…]
Je te sondais ainsi,
ne souhaitant qu’ouïr
Ton langage
emmiellé, quand pour me réjouir
D’un
bel
œil,
d’un
gai
front,
et d’un
mignard
sourire,
Qui sa
douceur,
sa
grâce,
et sa
honte
soupire,
Sans
art,
sans
peur,
sans
feinte,
emblant,
gagnant,
flattant,
Mon
cœur,
mon sens,
mon
deuil : tu me dis à
l’instant.
Vous me pardonnerez si sans
scrupule
j’ose
Prendre en jeu
familier
votre douleur
enclose,
Et si ne pardonnant à vos
beaux
passe-temps,
Je vous colloque au rang
des Amis
de ce temps :
[…]
En ligne le
23/09/09.
Dernière révision le 11/11/24.