Marotte. Sotte, peinte ou peinturée, farceuse.
C’est (s’il faut ainsi parler) le sceptre des joueurs de farces ou sottises.
Maurice de LA PORTE, Les
Épithètes, 1571,
f° 159r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_324]
(texte modernisé).
[Porte-marotte. Sot.]
Marotte. Sotte, peinte ou peinturee, farceuse.
C’est (s’il faut ainsi parler) le sceptre des ioüeurs de farces ou sottises.
Maurice de LA PORTE, Les
Epithetes, 1571,
f° 159r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_324]
(texte original).
[Porte-marotte. Sot.]