[…]
Comme une
tendre
vigne
à l’ormeau
se marie,
Et de mainte embrassée autour de lui se plie,
Tout ainsi de ton
bras
en cent façons
plié
Serre le
tendre
col
de ton
beau
marié.
Celui puisse compter le nombre des
arènes,
Les étoiles
des cieux,
et les herbes
des plaines,
Qui comptera les jeux
de vos combats
si doux,
Desquels pour une nuit
vous ne serez pas soûls :
Or ébattez-vous donc, et en
toute
liesse
Prenez les passe-temps
de la
douce
jeunesse
Qui bientôt s’enfuira, et au nombre des
ans
(Qui vous suivront tous deux) égalez vos
enfants :
[…]
[…]
Comme une
tendre
vigne
à l’ormeau
se marie,
Et de mainte embrassée autour de lui se
plie,
Tout ainsi de ton
bras
en cent façons
plié
Serre le
tendre
col
de ton beau
marié.
Celui puisse compter le nombre des
arènes,
Les étoiles
des cieux, et les herbes
des plaines,
Qui comptera les jeux
de vos combats
si doux,
Desquels pour une nuit
vous ne serez pas soûls :
Or ébattez-vous
donc, et en toute
liesse
Prenez les passe-temps
de la
douce
jeunesse
Qui bientôt s’enfuira, et au nombre des
ans
(Qui vous suivront tous
deux) égalez vos
enfants :
[…]
En ligne le
05/02/23.
Dernière révision le 17/06/24.