[…]
Car
plutôt on verra les ondes de la Mer
Salées n’être point,
et
jamais n’écumer,
Plutôt
herbes de Mer aux
montagnes croîtront,
Les
vaches et les
bœufs sans
corne apparaîtront,
L’Hiver
sera plutôt sans gelée et froidure,
Le
beau Printemps sans fleurs,
et
l’Été sans verdure,
Sans
ombre les Peupliers,
sans
plume les oiseaux,
Et
sans aucun poisson
fleuves, lacs, et ruisseaux,
Sur
les arbres plutôt le Corbeau
blanchira,
Et parmi les étangs le Cygne
noircira,
Plutôt
sera la Mer
Océane tarie,
Que le peuple
Espagnol
et le
Français
varie
D’aimer Élisabeth du tige lilial,
Conjointe au grand Pasteur du sang Impérial.
[…]
Car
plutôt on verra les ondes de la Mer
Salées n’être
point,
et
jamais n’écumer,
Plutôt
herbes de Mer aux
montagnes croîtront,
Les
vaches et les
bœufs sans
corne apparaîtront,
L’Hiver
sera plutôt sans gelée et
froidure,
Le
beau Printemps sans fleurs,
et
l’Été
sans verdure,
Sans
ombre les
Peupliers,
sans
plume les oiseaux,
Et
sans aucun poisson
fleuves,
lacs, et
ruisseaux,
Sur
les arbres plutôt le Corbeau
blanchira,
Et parmi les étangs le Cygne
noircira,
Plutôt
sera la Mer
Océane tarie,
Que le peuple
Espagnol
et le
Français
varie
D’aimer Élisabeth du tige
lilial,
En ligne le
10/02/23.
Dernière révision le 20/06/24.