JE
veux mourir pour tes beautés, Maîtresse,
Pour ce bel œil, qui me prit à son haim,
Pour ce doux ris, pour ce baiser tout plein
D’ambre, et de musc, baiser d’une Déesse.
Je veux mourir pour cette blonde tresse,
Pour l’embonpoint de ce trop chaste sein,
Pour la rigueur de cette douce main,
Qui tout d’un coup me guérit et me blesse.
Je veux mourir pour le brun de ce teint,
Pour ce maintien, qui, divin, me contraint
De trop aimer : mais par sus toute chose,
Je veux mourir aux amoureux combats,
Soufflant l’amour, qu’au cœur je porte
enclose,
Toute une nuit, au milieu de tes bras.
JE
veux mourir pour tes beautés, Maîtresse,
Pour ce bel œil,
qui me prit à son haim,
Pour ce doux ris, pour ce
baiser tout plein
D’ambre et
de musc :
baiser d’une Déesse.
Je
veux mourir pour cette blonde tresse,
Pour le
mignard embonpoint de ce sein,
Pour la rigueur de cette
douce main,
Qui tout d’un
coup me guérit et me blesse.
Je
veux mourir pour le brun de ce teint,
Pour ce maintien, qui,
divin, me contraint
De trop aimer :
mais par sus toute chose,
Je
veux mourir aux amoureux combats,
Laissant
l’amour, qu’au cœur je porte
enclose,
Toute une nuit, au milieu
de tes bras.
JE
veux mourir pour tes beautés, Maîtresse,
Pour ce bel œil, qui me prit à son haim,
Pour ce doux ris, pour ce baiser tout plein
D’ambre et de musc,
baiser d’une Déesse.
Je veux mourir pour cette blonde tresse,
Pour le mignard
embonpoint de ce sein,
Pour la rigueur de cette douce main,
Qui tout d’un coup me guérit et me blesse.
Je veux mourir pour le brun de ce teint,
Pour ce maintien, qui, divin, me contraint
De trop aimer : mais par sus toute chose,
Je veux mourir aux amoureux
combats,
Soûlant
l’amour, qu’au cœur je porte enclose,
Toute une nuit, au milieu de tes bras.
JE
veux mourir pour tes beautés, Maîtresse,
Pour ce bel œil,
qui me prit à son haim,
Pour ce doux ris, pour ce
baiser tout plein
D’ambre et
de musc :
baiser d’une Déesse.
Je
veux mourir pour cette blonde tresse,
Pour le
mignard embonpoint de ce sein,
Pour la rigueur de cette
douce main,
Qui tout d’un
coup me guérit et me blesse.
Je
veux mourir pour le brun de ce teint,
Pour ce maintien, qui,
divin, me contraint
De trop aimer :
mais par sus toute chose,
Je
veux mourir aux amoureux combats,
Laissant
l’amour, qu’au cœur je porte
enclose,
Toute une nuit, au milieu
de tes bras.
JE
veux mourir pour tes beautés, Maîtresse,
Pour ce bel œil, qui me prit à son haim,
Pour ce doux ris, pour ce baiser tout plein
D’ambre et de musc,
baiser d’une Déesse.
Je veux mourir pour cette blonde tresse,
Pour le mignard
embonpoint de ce sein,
Pour la rigueur de cette douce main,
Qui tout d’un coup me guérit et me blesse.
Je veux mourir pour le brun de ce teint,
Pour ce maintien, qui, divin, me contraint
De trop aimer : mais par sus toute chose,
Je veux mourir aux amoureux
combats,
Soûlant
l’amour, qu’au cœur je porte enclose,
Toute une nuit, au milieu de tes bras.
JE
veux mourir pour tes beautés, Maîtresse,
Pour ce bel œil, qui me prit à son haim,
Pour ce doux ris, pour ce baiser tout plein
D’ambre et de musc,
baiser d’une Déesse.
Je veux mourir pour cette blonde tresse,
Pour l’embonpoint
de ce trop chaste sein,
Pour la rigueur de cette douce main,
Qui tout d’un coup me guérit et me blesse.
Je veux mourir pour le brun de ce teint,
Pour cette
voix,
dont le beau chant
m’étreint
Si fort le cœur, que seul il en dispose.
Je veux mourir aux amoureux
combats,
Soûlant
l’amour, qu’au
sang
je porte enclose,
Toute une nuit au milieu
de tes bras.
textes
modernisés
[R]
En ligne le
21/09/13.
Dernière révision le 31/08/23.