[…]
Framboisine.
Il
n’y a pas au
bord
tant d’arène
menue,
Tant d’ombrage
aux forêts,
quand la feuille
est venue,
Tant d’astres
reluisants
ne logent dans les cieux :
Qu’elle a dans ses
propos
de douceur
et de grâce,
De vertus
en l’esprit,
de beautés
en la face,
Et d’honnêtes
amours
voletant par ses yeux.
[…]
[…]
Framboisine.
Il
n’y a pas au
bord
tant d’arène
menue,
Tant d’ombrage
aux forêts,
quand la feuille
est venue,
Tant d’astres
reluisants
ne logent dans les cieux :
Qu’elle a dans ses
propos
de douceur
et de grâce,
De vertus
en l’esprit,
de beautés
en la face,
Et d’honnêtes
amours
voletant par ses yeux.
[…]
En ligne le 09/06/22.
Dernière révision le 29/04/23.