Ceux qui voudront se douloir,
qu’ils se deuillent :
J’ai, quant à moi,
parfaite
suffisance :
Je me repais de
divine
plaisance
Ès trois beautés
qui en une m’accueillent.
L’âme,
l’ouïe
et
la
vue
recueillent
L’enseignement, la
Musique
et
l’aisance
De son
esprit,
[de sa]
voix
et
présence :
Qu’est-il besoin
que plus les hommes
veuillent ?
Tout ce qui est en moi le plus insigne,
Prend ce qui est d’elle tout le plus digne :
Et raison
veut que raison
je me rende,
Si quelque chose encore je
n’ai prise,
Ma Dame
pas ne l’estime assez grande,
Pour guerdonner
ce qu’en moi elle prise.
Ceux qui voudront se douloir,
qu’ils se deuillent :
J’ai, quant à moi,
parfaite
suffisance :
Je me repais de
divine
plaisance
Ès trois beautés
qui en une m’accueillent.
L’âme,
l’ouïe
et
la
vue
recueillent
L’enseignement, la
Musique
et
l’aisance
De son
esprit,
[de sa]
voix
et
présence :
Qu’est-il besoin
que plus les hommes
veuillent ?
Tout ce qui est en moi le plus insigne,
Prend ce qui est d’elle tout le plus digne :
Et raison
veut que raison
je me rende,
Si quelque chose encore je
n’ai prise,
Ma Dame
pas ne l’estime assez grande,
Pour guerdonner
ce qu’en moi elle prise.
En ligne le
02/04/13.
Dernière révision le 23/07/23.