Qui
comme une Ariane
à son aimé
Thésée,
(Pour fuir ce Labyrint)
un fil
me prêtera ?
Qui comme au fin
Grégeois
l’herbe
m’apportera,
Pour r’avoir (comme lui) ma
raison
délaissée ?
Qui comme un
prompt
Dauphin
par la mer
dispersée
De mes soins
ondoyants,
à bord me mènera,
Ainsi qu’un Arion ?
Et qui m’empennera
Pour voler çà et là, comme un
ailé
Persée ?
Ni
Homme
mi-taureau, ni quelque Calypson,
Ni cruels
Mariniers,
ni forfait
ou soupçon
De quelque autre Méduse,
à cela ne m’appelle.
Mais l’Égide,
et ce Grec,
le Harpeur, et Persé,
N’égaleraient en rien mon dessein plus
aisé
Sans filet,
sans Moly,
sans Poisson,
et double aile.
Qui
comme une Ariane
à son aimé
Thésée,
(Pour fuir ce
Labyrint) un
fil
me prêtera ?
Qui comme au fin
Grégeois
l’herbe
m’apportera,
Pour r’avoir (comme
lui) ma
raison
délaissée ?
Qui comme un
prompt
Dauphin
par la mer
dispersée
De mes soins
ondoyants,
à bord me mènera,
Ainsi qu’un Arion ?
Et qui m’empennera
Pour voler çà et là, comme un
ailé
Persée ?
Ni
Homme
mi-taureau, ni quelque Calypson,
Ni cruels
Mariniers,
ni forfait
ou soupçon
De quelque autre Méduse,
à cela ne m’appelle.
Mais
l’Égide,
et ce Grec,
le Harpeur, et Persé,
N’égaleraient en rien mon dessein plus
aisé
Sans filet,
sans Moly,
sans Poisson,
et double aile.
En ligne le
28/02/08.
Dernière révision le 16/02/22.