[…]
Non,
non,
Zéphyre
avecque ses douceurs,
Ne nous ramène au
printemps
tant de fleurs,
Tant de gaietés
ne nous montre la terre,
Lorsqu’elle vient son
manteau
tapissant
De mille
fleurs :
que Dieu
bon
et
puissant
De grands
plaisirs
en mon esprit
enserre.
On ne
pourrait de la
profonde
mer,
Les flots
nombrer : ni les enfants
nommer :
Nul ne saurait compter les grains de sable
Que ce
grand
monde
en sa rondeur
contient :
Moins pourrait-on exprimer ce qu’obtient
De Jésus-Christ
mon âme
misérable.
[…]
[…]
Non, non,
Zéphyre
avecque ses douceurs,
Ne nous ramène au
printemps
tant de fleurs,
Tant de gaietés
ne nous montre la terre,
Lorsqu’elle vient son
manteau
tapissant
De mille
fleurs :
que Dieu
bon
et
puissant
De grands
plaisirs
en mon esprit
enserre.
On ne
pourrait de la
profonde
mer,
Les flots
nombrer : ni les enfants
nommer :
Nul ne saurait compter les grains de sable
Que ce
grand
monde
en sa rondeur
contient :
Moins pourrait-on exprimer ce qu’obtient
De Jésus-Christ
mon âme
misérable.
[…]
En ligne le
12/05/21.
Dernière révision le 05/03/24.