[…]
Que de
contantemans !
Que de rauissemans
T’abordoient ! que de
ioyes !
Sous les
humides
voyes
Des fleuues
tortillez
Tant de sablons
moüillez
Etandus
ne s’amassent,
Ny tant d’astres
ne passent
La nuit
dans l’Horyzon,
Ny la
verte
saizon
Du Printans,
ieune
& belle,
Tant d’oizeaus
n’amoncelle
Es bocages
fleuris,
Ny tant de blez
meuris,
Qui les hommes
nourissent,
Barbelez
ne iaunissent,
Quand l’Astre
le plus
chaut
Les campagnes
assaut,
Ny l’Autonne
vermeille
Tant de fruis
n’apareille.
[…]
[…]
Que de
contantemans !
Que de rauissemans
T’abordoient ! que de
ioyes !
Sous les
humides
voyes
Des fleuues
tortillez
Tant de sablons
moüillez
Etandus
ne s’amassent,
Ny tant d’astres
ne passent
La nuit
dans l’Horyzon,
Ny la
verte
saizon
Du Printans,
ieune
& belle,
Tant d’oizeaus
n’amoncelle
Es bocages
fleuris,
Ny tant de blez
meuris,
Qui les hommes
nourissent,
Barbelez
ne iaunissent,
Quand l’Astre
le plus
chaut
Les campagnes
assaut,
Ny l’Autonne
vermeille
Tant de fruis
n’apareille.
[…]
En ligne le
10/07/20.
DerNyère révision le 16/10/22.