disposition de la
recollection
(vers 3-8 → 12-14)
Rien n’est vu
permanent,
toute chose se passe,
Tous nos faits
en la fin sont du temps
dévorés :
Les
palais
somptueux,
et les
sceptres
dorés,
Le chenu
ravisseur
les détruit et les casse.
La
terre
tremble au bruit
de sa seule menace,
Le
soleil
en a peur,
et les
cieux
honorés,
Les
mausoles
pompeux
en sont vus atterrés,
Et le
siècle
plus
vieil
connaît bien son
audace.
Si doncques il permet à la
mère
Nature,
Que quelque beau signal lui demeure et lui dure,
Votre Nom immortel puisse vaincre les
ans,
Les
palais
somptueux,
et les
sceptres
qu’on dore,
Le
soleil
et la
terre,
et les
cieux
qu’on honore,
Les
Mausoles
pompeux,
et la
rage
du Temps.
Rien n’est vu
permanent,
toute chose se passe,
Tous nos faits
en la fin sont du temps
dévorés :
Les
palais
somptueux,
et les
sceptres
dorés,
Le chenu
ravisseur
les détruit et les casse.
La
terre
tremble au bruit
de sa seule menace,
Le
soleil
en a peur,
et les
cieux
honorés,
Les
mausoles
pompeux
en sont vus atterrés,
Et le
siècle
plus
vieil
connaît bien son
audace.
Si doncques il permet à la
mère
Nature,
Que quelque beau signal lui demeure et lui dure,
Votre Nom immortel puisse vaincre les
ans,
Les
palais
somptueux,
et les
sceptres
qu’on dore,
Le
soleil
et la
terre,
et les
cieux
qu’on honore,
Les
Mausoles
pompeux,
et la
rage
du Temps.
En ligne le 28/08/21.
Dernière révision le 01/09/21.