Aux Cuisses.
Palis
de net
porphyre
arrondis au compas,
Puisque vous emmurez un si
divin
parterre,
Où
l’archer
Paphien
ses beaux
fruitiers atterre,
Pour fournir aux Amours
leurs plus
friands
appâts.
De votre
riche
atour
je ne m’ébahis pas,
Et si Nature
en vous telle richesse
enserre :
Mais pourquoi votre haie
à moi ne se desserre,
Quand à votre
jardin
j’achemine mes pas ?
Enté n’y est encor
ce noble
arbre
de vie,
Qu’en ce
fécond
terroir j’ai de planter
envie,
Verdier
industrieux
des forêts
de Vénus.
Faites largue,
palis, je vous l’apporte en sève,
Et flairez par le flair de cette
odeur
souève,
Que ses
vifs
fruits
vitaux
y seront tôt venus.
Aux Cuisses.
Palis
de net
porphyre
arrondis au compas,
Puisque vous emmurez un si
divin
parterre,
Où
l’archer
Paphien
ses beaux
fruitiers atterre,
Pour fournir aux Amours
leurs plus
friands
appâts.
De votre
riche
atour
je ne m’ébahis pas,
Et si Nature
en vous telle richesse
enserre :
Mais pourquoi votre haie
à moi ne se desserre,
Quand à votre
jardin
j’achemine mes pas ?
Enté n’y est encor
ce noble
arbre
de vie,
Qu’en ce
fécond
terroir j’ai de planter
envie,
Verdier
industrieux
des forêts
de Vénus.
Faites largue,
palis, je vous l’apporte en sève,
Et flairez par le flair de cette
odeur
souève,
Que ses
vifs
fruits
vitaux
y seront tôt venus.
En ligne le
21/04/17.
Dernière révision le 05/08/22.