Comme quand il advient
qu’une
place
est forcée
Par un
cruel
assaut
du soldat
furieux,
Tout est mis au
pillage :
on voit en mille lieux,
Feux
sur feux
allumés,
mort
sur mort
amassée.
Mais si ne peut sa
gloire
être tant
abaissée,
Qu’un arc,
une colonne,
un portail
glorieux
N’échappent la
fureur
du fer
victorieux,
Et ne restent entiers, quand la
flamme
est passée.
Ainsi
durant les
maux
que j’ai tant supportés
À la honte
d’Amour,
et de vos cruautés,
Depuis que par vos
yeux
mon âme
est retenue :
En
dépit
du malheur
contre moi conjuré,
Mon cœur
inviolable
est toujours demeuré,
Et ma foi
jusqu’ici
ferme
s’est maintenue.
Comme quand il advient
qu’une
place
est forcée
Par un
cruel
assaut
du soldat
furieux,
Tout est mis au
pillage :
on voit en mille lieux,
Feux
sur feux
allumés,
mort
sur mort
amassée.
Mais si ne peut sa
gloire
être tant
abaissée,
Qu’un arc,
une colonne,
un portail
glorieux
N’échappent la
fureur
du fer
victorieux,
Et ne restent entiers, quand la
flamme
est passée.
Ainsi
durant les
maux
que j’ai tant supportés
À la honte
d’Amour,
et de vos cruautés,
Depuis que par vos
yeux
mon âme
est retenue :
En
dépit
du malheur
contre moi conjuré,
Mon cœur
inviolable
est toujours demeuré,
Et ma foi
jusqu’ici
ferme
s’est maintenue.
En ligne le 14/05/20.
Dernière révision le 12/12/21.