Bel
est le
bois,
qui cent mille oisillons,
Dessous son vert
tirelirants recèle :
Bel
est l’argent,
qui
murmurant
ruisselle
Sur un gravier
à
menus
bondillons.
Bel
est le lustre
émaillé
de
fleurons,
Qu’Avril
éclot sur la terre
nouvelle :
Belle
est la
nuit
de qui l’aigu
décèle
Dedans le ciel
cent mille lamperons.
Beaux
sont les
rais
dont Phébus
se décore,
Belle
est aussi la tresse
de l’Aurore :
Bel
est le
jour
sans nuage
serein :
Belles
aussi les
Gemmes
Orientales :
Mais ces beautés
ne sont en rien égales
À la beauté
qui mon œil
entretient.
Bel
est le
bois,
qui cent mille oisillons,
Dessous son vert
tirelirants recèle :
Bel
est l’argent,
qui
murmurant
ruisselle
Sur un gravier
à
menus
bondillons.
Bel
est le lustre
émaillé
de
fleurons,
Qu’Avril
éclot sur la terre
nouvelle :
Belle
est la
nuit
de qui l’aigu
décèle
Dedans le ciel
cent mille lamperons.
Beaux
sont les
rais
dont Phébus
se décore,
Belle
est aussi la tresse
de l’Aurore :
Bel
est le
jour
sans nuage
serein :
Belles
aussi les
Gemmes
Orientales :
Mais ces beautés
ne sont en rien égales
À la beauté
qui mon œil
entretient.
En ligne le 26/03/22.
Dernière révision le 01/11/23.