NI
des verts
prés
les fleurettes
riantes,
Ni d’un ruisseau
le doux
flot
argentin,
Ni le
long
cours
d’un fleuve
serpentin,
Ni les rameaux
des forêts
verdoyantes :
Ni de
Cérès
les plaines
blondoyantes,
Ni ce
beau
Ciel,
d’où vient notre
destin,
Ni la fraîcheur
du soir,
et du matin,
Ni du printemps
les beautés
différentes :
Las ! ne m’ont point le
regret
allenti
De mes péchés :
je l’ai plus ressenti,
Considérant cet
ouvrage
admirable
De ce
grand
Dieu,
qui par ses
beaux
objets,
Fait que mon
cœur
reconnaît ses
forfaits :
Forfaits,
l’horreur
de mon âme
coupable.
NI
des verts
prés
les fleurettes
riantes,
Ni d’un ruisseau
le doux
flot
argentin,
Ni le
long
cours
d’un fleuve
serpentin,
Ni les rameaux
des forêts
verdoyantes :
Ni de
Cérès
les plaines
blondoyantes,
Ni ce
beau
Ciel,
d’où vient notre
destin,
Ni la fraîcheur
du soir,
et du matin,
Ni du printemps
les beautés
différentes :
Las ! ne m’ont point le
regret
allenti
De mes péchés :
je l’ai plus ressenti,
Considérant cet
ouvrage
admirable
De ce
grand
Dieu,
qui par ses
beaux
objets,
Fait que mon
cœur
reconnaît ses
forfaits :
Forfaits,
l’horreur
de mon âme
coupable.
En ligne le
11/05/22.
Dernière révision le 30/03/23.