V
L’Estoile
de Cypris
à la face
riante
Commençoit à paroistre, &
l’orizon doroit,
Et Phœbé
crin-doré
son chariot
tiroit,
Prest de recommencer sa
cariere
esclairante.
Prest
d’Aare
le hastif
le sommeil
se presente
En pieds,
à moy
songeard,
depit
il preparoit
Son baston
charme-soin,
dont semblant il faisoit
De me frapper le front
en sa force
pesante.
Mais
le
Latonien,
prince
benin
&
fort,
Ayant le soin
de moy, paroit à son
effort
Le destin
non
chanté
de ma
belle
entreprise.
Dont malgré ce
songeard,
ce frere
de la mort,
Hardy
ie parferay, m’aidant de son
confort,
Le style
delaissé de ma
lettre
promise.
V
L’Estoile
de Cypris
à la face
riante
Commençoit à paroistre, &
l’orizon doroit,
Et Phœbé
crin-doré
son chariot
tiroit,
Prest de recommencer sa
cariere
esclairante.
Prest
d’Aare
le hastif
le sommeil
se presente
En pieds,
à moy
songeard,
depit
il preparoit
Son baston
charme-soin,
dont semblant il faisoit
De me frapper le front
en sa force
pesante.
Mais
le
Latonien,
prince
benin
&
fort,
Ayant le soin
de moy, paroit à son
effort
Le destin
non
chanté
de ma
belle
entreprise.
Dont malgré ce
songeard,
ce frere
de la mort,
Hardy
ie parferay, m’aidant de son
confort,
Le style
delaissé de ma
lettre
promise.
En ligne le
11/12/13.
Dernière révision le 02/05/21.