anaphore
de « ô »
(vers 1-5)
Ô
blonds
cheveux
qui privez l’or
de gloire,
Ô front
Nymphal,
front
sur tous
gracieux,
Ô
suave
bouche,
ô l’œil
délicieux,
Qui repillez sur mon cœur
la victoire !
Ô vous
rubis,
perles,
marbre,
et ivoire,
Du corps
égal aux mignonnes des Dieux,
Hélas jadis vous nourrissiez mes
yeux,
Or seulement vous paissez ma
mémoire.
Ah chétif
moi qui n’ai su retenir
Vos
grands
beautés,
qu’en un
doux
souvenir,
Qui vainement toujours à vous me mène.
Il m’est avis que je vous
revois bien
Vous recherchant, mais je ne trouve rien
Qu’ennui,
douleur,
regret,
tristesse,
et peine.
Ô
blonds
cheveux
qui privez l’or
de gloire,
Ô front
Nymphal,
front
sur tous
gracieux,
Ô
suave
bouche,
ô l’œil
délicieux,
Qui repillez sur mon cœur
la victoire !
Ô vous
rubis,
perles,
marbre,
et ivoire,
Du corps
égal aux mignonnes des Dieux,
Hélas jadis vous nourrissiez mes
yeux,
Or seulement vous paissez ma
mémoire.
Ah
chétif
moi qui n’ai su retenir
Vos
grands
beautés,
qu’en un
doux
souvenir,
Qui vainement toujours à vous me mène.
Il m’est avis que je vous
revois bien
Vous recherchant, mais je ne trouve rien
Qu’ennui,
douleur,
regret,
tristesse,
et peine.
En ligne le
19/04/10.
Dernière révision le 25/09/22.