J’aurais plus tôt
compté le Troupeau
d’Amphitrite
Ou les traits
Déliens,
ou les Flambeaux
des Cieux,
Que le nombre
infini
des Rayons
gracieux,
De ce Sexe
connu
qui de tous dons
hérite.
Sa
Vertu,
sa Valeur, et sa Gloire
est écrite,
Pour Argument
d’honneur
de tous les siècles
vieux,
Tant les
fameux
Romains,
les Grecs,
et les Hébreux,
Dans leurs Temples
sacrés
ont gravé son mérite.
Las ? qui le peut
haïr ? quel
Zoïle
nouveau,
Ou quel Môme ( merlin )
se trouble le Cerveau,
Dédaignant sa valeur qui de soi se renomme ?
Estimons le
beau
fruit,
que les Anciens ont fait,
Suivant le
bon
Conseil
de ce Sexe
parfait,
Et remarquons son los
aux
saintes
lois
de Rome.
J’aurais
plus tôt compté le
Troupeau
d’Amphitrite
Ou les traits
Déliens,
ou les Flambeaux
des Cieux,
Que le nombre
infini
des Rayons
gracieux,
De ce Sexe
connu
qui de tous dons
hérite.
Sa
Vertu, sa Valeur,
et sa Gloire
est écrite,
Pour Argument
d’honneur
de tous les siècles
vieux,
Tant les
fameux
Romains,
les Grecs,
et les Hébreux,
Dans leurs Temples
sacrés
ont gravé son mérite.
Las ? qui le peut
haïr ? quel
Zoïle
nouveau,
Ou quel Môme ( merlin )
se trouble le Cerveau,
Dédaignant sa valeur qui de soi se renomme ?
Estimons le
beau
fruit,
que les Anciens ont fait,
Suivant le
bon
Conseil
de ce Sexe
parfait,
Et remarquons son los
aux
saintes
lois
de Rome.
En ligne le
05/04/10.
Dernière révision le 07/07/24.