Qui comptera les
fleurs
de la saison
nouvelle,
Ou du ciel
azuré
les
rayonnants
flambeaux,
Ou du
grand
Océan
les
écaillés
troupeaux,
Ou la bande qu’en
l’air
se soutient de son aile :
Qui comptera les grains d’une
cueillette belle,
Ou des champs
Auvergnats les Vaches
et les veaux,
Ou des
loyaux
amants
les langoureux
travaux,
Ou ceux que de tout temps
usuriers
on appelle.
Qui comptera le
poil
des hommes
bien chenus,
Ou subtil comptera les Atomes
menus,
Ou le
brillant
sablon
du
Libyque
rivage.
Somme qui comptera les
Amours
de Cypris,
Ou des Dames
qui ont l’esprit
aussi
volage,
Celui pourra compter mes
amoureux
soucis.
Qui comptera les
fleurs
de la saison
nouvelle,
Ou du ciel
azuré
les
rayonnants
flambeaux,
Ou du
grand
Océan
les
écaillés
troupeaux,
Ou la bande qu’en
l’air
se soutient de son aile :
Qui comptera les grains d’une
cueillette
belle,
Ou des champs
Auvergnats les Vaches
et les veaux,
Ou des
loyaux
amants
les langoureux
travaux,
Ou ceux que de tout temps
usuriers
on appelle.
Qui comptera le
poil
des hommes
bien
chenus,
Ou subtil comptera les Atomes
menus,
Ou le
brillant
sablon
du
Libyque
rivage.
Somme qui comptera les
Amours
de Cypris,
Ou des Dames
qui ont l’esprit
aussi
volage,
Celui pourra compter mes
amoureux
soucis.
En ligne le
07/12/08.
Dernière révision le 11/11/20.