Sans laisser perdre à
l’âge
décevant
En son Avril,
ta jeunesse
amoureuse.
Rien n’est si
frêle,
ô fille
rigoureuse,
Rien si
léger,
si rare,
et si
mouvant,
Et celles-là méprise-t-on souvent,
Qui n’ont connu
d’Hymen
la torche
heureuse.
Donc cependant que nous avons
loisir,
Faisons content notre
amoureux
désir,
Portant ton Myrte
aux fêtes
d’Ithyphalle.
Si une fois la
bénigne
Clothon
Donne à sa
sœur ton
natal
peloton,
Tu n’aimeras dans
l’enceinte
infernale.
LAs ! tu devais
simple
Religieuse
Comme ta sœur
épouser un
Convent,
Sans laisser perdre à
l’âge
décevant
En son Avril,
ta jeunesse
amoureuse.
Rien n’est si
frêle,
ô fille
rigoureuse,
Rien si
léger,
si rare,
et si
mouvant,
Et celles-là méprise-t-on souvent,
Qui n’ont connu
d’Hymen
la torche
heureuse.
Donc cependant que nous avons
loisir,
Faisons content notre
amoureux
désir,
Portant ton Myrte
aux fêtes
d’Ithyphalle.
Si une fois la
bénigne
Clothon
Donne à sa
sœur ton
natal
peloton,
Tu n’aimeras dans
l’enceinte
infernale.
En ligne le
06/12/21.
Dernière révision le 06/12/21.