Vif et mort,
Corps,
esprit,
en la terre,
et aux Cieux
Par toi suis, et ne suis, abject et plein de
gloire.
L’être s’évanouit,
où la
Mort
a victoire,
Mais il est en effort,
uni avec les Dieux.
Cette
mort,
cette vie,
hélas, vil, glorieux
Je fuis, et puis l’empreins au
cœur,
en ma mémoire
Par l’un je ne sais rien, et le tout j’ai notoire
Par le second : ô
rai !
que toi je le sais mieux
Car tu ne sais
l’effort
de celle, qui me tue,
Et je sais la vigueur
de cil, qui m’évertue,
Embrassant deux divers en leurs
éternités.
Et la
vie,
et la Mort,
au cercueil,
en ta sphère
Me posent Corps,
esprit,
qu’en toi reprendre espère,
Ils dépendent de toi, et de tes
déités.
Vif et mort,
Corps,
esprit,
en la terre,
et aux Cieux
Par toi suis, et ne
suis, abject et plein de
gloire.
L’être
s’évanouit,
où la Mort
a victoire,
Mais il est en effort, uni avec les Dieux.
Cette
mort,
cette vie,
hélas,
vil, glorieux
Je fuis, et puis
l’empreins au
cœur,
en ma mémoire
Par l’un je ne
sais rien,
et le tout j’ai
notoire
Par le second : ô
rai !
que toi je le sais mieux
Car tu ne sais
l’effort
de celle, qui me
tue,
Et je sais la vigueur
de cil, qui
m’évertue,
Embrassant deux divers en leurs
éternités.
Et la
vie,
et la Mort,
au cercueil,
en ta sphère
Me posent Corps,
esprit,
qu’en toi
reprendre espère,
Ils dépendent de toi,
et de tes
déités.
En ligne le
14/10/24.
Dernière révision le 14/10/24.