Comme quand le
printemps
de sa verdure
belle
Pare les champs
plus beaux,
lorsque l’hiver
départ,
La biche
toute
gaie
au point du jour
s’en part,
Hors de son bois
aimé, qui son gîte recèle,
Et de là va brouter
l’herbelette
nouvelle,
Sûre, loin des
bergers,
dans les champs
à l’écart,
Ou sur les
verts
coteaux
ou dans les prés,
la part
Que son
libre
désir
la conduit et l’appelle.
Ni n’a
crainte
du trait,
ni d’autre
tromperie,
Quand à coup elle sent dans son
flanc
le boulet,
Qu’un
bon
arquebusier
caché
d’aguet
débande.
Tel, comme un qui sans
peur
de rien ne se défie,
Dame,
j’allais le
jour,
que vos yeux
d’un
beau
trait,
Firent en tout mon
cœur
une plaie
bien
grande.
Comme
quand le
printemps
de sa verdure
belle
Pare les
champs
plus
beaux,
lorsque l’hiver
départ,
La
biche
toute
gaie
au point du jour
s’en part,
Hors de son
bois
aimé, qui son gîte recèle,
Et
de là va brouter
l’herbelette
nouvelle,
Sûre, loin des
bergers,
dans les champs
à l’écart,
Ou sur les
verts
coteaux
ou dans les prés,
la part
Que son
libre
désir
la conduit et l’appelle.
Ni
n’a
crainte
du trait,
ni d’autre
tromperie,
Quand à coup
elle sent dans son
flanc
le boulet,
Qu’un
bon
arquebusier
caché
d’aguet
débande.
Tel,
comme un qui sans
peur
de rien ne se défie,
Dame,
j’allais le
jour,
que vos yeux
d’un
beau
trait,
Firent en tout mon
cœur
une plaie
bien
grande.
En ligne le
23/02/19.
Dernière révision le 21/11/23.