Comme en
l’été
près du fleuve
Scamandre
Se promenant pas
à pas
les Naïades,
Nymphes
des bois,
et
chastes
Oréades,
Voyant baigner la
beauté
d’Alexandre :
De
Pégasis
le cœur
se laissa prendre
Pour s’asservir aux
douces
allégrades
De cet Archer
qui fait les dieux malades
Quand il lui plaît, lequel la vint surprendre.
Ainsi fut fait mon
doux
asservissage
Voyant ma nymphe
au long d’un
clair
rivage
Baigner l’objet de sa
sainte
splendeur.
Ô
jour
heureux !
ô bienheureuse
Saône !
Jamais ne soit que ma
lyre
ne sonne
Los
de ton cours
près duquel j’eus tant d’heur.
Comme en
l’été
près du fleuve
Scamandre
Se promenant pas
à pas
les Naïades,
Nymphes
des bois,
et
chastes
Oréades,
Voyant baigner la
beauté
d’Alexandre :
De
Pégasis
le cœur
se laissa prendre
Pour s’asservir aux
douces
allégrades
De cet Archer
qui fait les dieux malades
Quand il lui plaît, lequel la vint surprendre.
Ainsi fut fait mon
doux
asservissage
Voyant ma nymphe
au long d’un
clair
rivage
Baigner l’objet de sa
sainte
splendeur.
Ô
jour
heureux !
ô bienheureuse
Saône !
Jamais ne soit que ma
lyre
ne sonne
Los
de ton cours
près duquel j’eus tant d’heur.
En ligne le
02/08/22.
Dernière révision le 19/04/23.