Nous fait
chercher les
herbes
vigoureuses,
Comme l’on court aux
régions
heureuses
Pour allonger
l’heure
de sa journée.
Quand
la
tempête
en mer
est
retournée
Pressant la Nau
d’ondes
impétueuses,
Les Nautoniers
d’armes
industrieuses
Chassent le
bouil
de la mer
animée.
Ainsi
je
cherche,
ainsi je cours, je
prie,
À toi qui es pour mon
âme
périe,
L’onguent, le
lieu, et
le
port
souverain.
Guéris
ma plaie
et
me tire d’ici,
Chasse les
vents,
qui doublent mon souci,
Et ta clarté
me fasse l’air
serein.
COmme une plaie au cœur enracinée
Nous fait
chercher les
herbes
vigoureuses,
Comme
l’on court aux
régions
heureuses
Pour allonger
l’heure
de sa journée.
Quand
la tempête
en mer
est
retournée
Pressant la Nau
d’ondes
impétueuses,
Les Nautoniers
d’armes
industrieuses
Chassent le
bouil
de la mer
animée.
Ainsi
je
cherche,
ainsi
je cours,
je
prie,
À toi qui es pour mon
âme
périe,
L’onguent, le
lieu,
et
le
port
souverain.
Guéris
ma plaie
et
me tire d’ici,
Chasse les
vents,
qui doublent mon souci,
Et ta clarté
me fasse l’air
serein.
En ligne le
15/02/23.
Dernière révision le 22/06/24.