COmme
on voit quelquefois sortir d’un
creux
rocher
Et gravir au coupeau de quelque
arbre
sauvage,
Un Dragon
aguettant d’une
mortelle
rage,
L’Éléphant
qu’il a vu de cet
arbre
approcher,
Et
d’une
dent
bourrelle
en la croupe
accrocher
Cet animal grondant en vain dessous la
charge,
Pour boire ivrognement son
sang
d’un gosier
large,
Et l’ardeur
de sa soif
de ce sang
étancher,
Puis
l’Éléphant
perdant avec son sang
son âme,
En tombant accabler ce Dragon
tout
infâme,
Et en mourant meurtrir le
meurtrier
de sa vie,
Ainsi
voit-on la mort
qui d’une dent
bourrelle,
Poursuivait mon
époux
d’une mort
très
cruelle,
Morte dessous sa mort,
par sa
mortelle
envie.
COmme
on voit quelquefois sortir d’un
creux
rocher
Et gravir au coupeau de quelque
arbre
sauvage,
Un Dragon
aguettant d’une
mortelle
rage,
L’Éléphant
qu’il a vu de cet
arbre
approcher,
Et
d’une dent
bourrelle
en la croupe
accrocher
Cet animal grondant en vain dessous la
charge,
Pour boire ivrognement son
sang
d’un gosier
large,
Et l’ardeur
de sa soif
de ce sang
étancher,
Puis
l’Éléphant
perdant avec son sang
son âme,
En tombant accabler ce Dragon
tout
infâme,
Et en mourant meurtrir le
meurtrier
de sa vie,
Ainsi
voit-on la mort
qui d’une dent
bourrelle,
Poursuivait mon
époux
d’une mort
très
cruelle,
Morte dessous sa mort, par sa
mortelle
envie.
En ligne le
09/10/05,
versé dans l’anthologie des comparaisons le
08/01/24.
Dernière révision le 08/01/24.