Toutes les fois qu’au
trauail
de l’estude,
Me reposant tout endormi ie veille:
Et que de loing sa voix
doucement
rude,
Ou le tintin
des clefz qu’elle appareille,
Transmet vn air sonnant à mon
oreille,
Tant me rauit sa recordation,
Que mon esprit
de l’estude s’esueille,
Pour s’endormir en
contemplation.
Toutes les fois qu’au
trauail
de l’estude,
Me reposant tout endormi ie veille:
Et que de loing sa voix
doucement
rude,
Ou le tintin
des clefz qu’elle appareille,
Transmet vn air sonnant à mon
oreille,
Tant me rauit sa recordation,
Que mon esprit
de l’estude s’esueille,
Pour s’endormir en
contemplation.
En ligne le
29/06/14.
Dernière révision le 12/03/21.