Pource
qu’au mont
qui a
jumelle
crête
Heureusement tu m’as fait séjourner,
Pource qu’en Lesbe as voulu
me mener,
Pource que
d’or
une plume
m’as faite,
Pource
qu’as fait par
louable
conquête
L’arbre
à Phébus
couronne
me donner,
En me faisant sur les
cordes
sonner,
En écrivant comme
Vénus
me traite,
Au
saint
cristal
de la
docte
fontaine,
Au
plaisant
clos
qui serre Mytilène,
Aux
blancs
papiers
de mes livres
ouverts,
Phébus, Sapphon, et ma
douce
Thalie,
Te met au
front,
t’accorde, te
dédie,
Mon
saint
laurier, ma
guiterre, mes
vers.
Pource
qu’au mont
qui a
jumelle
crête
Heureusement tu m’as fait séjourner,
Pource qu’en Lesbe as voulu
me mener,
Pource que
d’or
une plume
m’as faite,
Pource
qu’as fait par
louable
conquête
L’arbre
à Phébus
couronne
me donner,
En me faisant sur les
cordes
sonner,
En écrivant comme
Vénus
me traite,
Au
saint
cristal
de la
docte
fontaine,
Au
plaisant
clos
qui serre Mytilène,
Aux
blancs
papiers
de mes livres
ouverts,
Phébus, Sapphon, et ma
douce
Thalie,
Te met au
front,
t’accorde, te
dédie,
Mon
saint
laurier, ma
guiterre, mes
vers.
En ligne le
29/09/22.
Dernière révision le 29/09/22.