Les Épithètes
de Maurice de La Porte (1571)
Le Préam­bule des
innom­brables
««« tin­tin »»»

« tintin » dans :
Des Autels
1550
~ Toutes les fois…

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Tintin. Ros­si­gno­let, amou­reux, dou­ce­let, pe­tit, dé­goi­sé.

Ainsi est appe­lé le chant du Ros­si­gnol.

Maurice de LA PORTE, Les Épithètes, 1571,
f° 263r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_532]
(texte modernisé).

[Tintinnant /-ante. Acier, airain, ho­chet, oreille, voix.]

[Voir aussi tintement, ain­si que ga­zouil­le­ment ou ga­zouil­lis, ra­mage, sif­fle­ment ou sif­flet et au­bade, ba­bil, fre­don.]


 

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Tintin. Ros­si­gno­let, amou­reus, dou­ce­let, pe­tit, des­goi­sé.

Ainsi est appel­lé le chant du Ros­si­gnol.

Maurice de LA PORTE, Les Epithetes, 1571,
f° 263r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_532]
(texte original).

[Tintinant /-ante. Acier, airain, ho­chet, oreille, voix.]

[Voir aussi tintement, ainsi que ga­zouil­le­ment ou ga­zouil­lis, ra­mage, si­fle­ment ou si­flet et au­bade, ba­bil, fre­don.]

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