««« Nio­be »»»

« la fille de Tan­tale » dans :
Bel­leau
1556
~ Jadis la fille de Tan­tale…

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* Niobe : Niobé
 
◊ « la fille de Tan­tale » (Belleau)
 

Niobe. Fé­conde, si­py­lienne, tan­ta­lide, mal­heu­reuse, su­perbe, en­ro­chée, dou­lou­reuse, froide, triste.

Niobe fille de Tan­tale, sœur de Pé­lops, et femme d’Am­phion, de dou­leur qu’elle eut de voir ses 12 ou 14 en­fants tués par Apol­lon, on la feint être muée en un ro­cher auprès la ville de Si­pyle, d’où elle était née.

Maurice de LA PORTE, Les Épithètes, 1571,
ff. 177v°-178r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_361_362]
(texte modernisé).

[Voir aussi Diane, La­tone et Ti­tye.]


 

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Niobe. Fe­conde, si­py­lienne, tan­ta­lide, mal­heu­reuse, su­perbe, en­ro­chee, dou­lou­reuse, froide, triste.

Niobe fille de Tan­tale, sœur de Pe­lops, & femme d’Am­phion, de dou­leur qu’elle eut de voir ses 12. ou 14. en­fans tués par Apol­lon, on la feint estre muee en vn ro­cher aupres la ville de Si­pyle, d’ou elle estoit nee.

Maurice de LA PORTE, Les Epithetes, 1571,
ff. 177v°-178r° [Gallica, NUMM-50715, PDF_361_362]
(texte original).

[Voir aussi Diane, La­tone et Ti­tye.]



 

Liens

* On peut voir une estampe illus­trant la dou­leur de Nio­bé devant ses enfants morts sous les flèches d’Apol­lon et de Diane, insé­rée entre les pages 346 et 347 des Tableaux du temple des Muses de Michel de Ma­rolles, pu­bliés en 1655, et lire à la suite le cha­pitre XLIV, « Niobe », pp. 347 à 354 du vo­lume en ligne sur Gallica.

Liens valides au 18/10/25.