disposition de la
recollection
(vers 1-8 → 12-14)
Alors que le
Printemps
fait éclore les
fleurs :
J’aime encore celui qui répand les
douceurs
De son
funèbre
chant
sur les eaux
de Méandre.
J’aime l’unique
oiseau
qui renaît de sa
cendre,
Des Colombes
aussi me plaisent les ardeurs,
Et les feux
amoureux
qui vont brûlant leurs
cœurs,
En ce mois
où
l’amour
d’amour
nous vient surprendre.
Mais je suis tant épris de la
rare
beauté
D’un Merle
solitaire,
à qui la liberté
A été du maillotsac
de mailles pour enfermer un oiseau de proie
au maillot asservie :
Que du
gai
Rossignol,
et du Cygne
à son
tour,
De l’inconnu
Phénix,
et Colombes
j’oublie
Le chant
et la beauté,
la merveille
et l’amour.
J’Aime l’oiseau qui fait son plaisant deuil entendre,
Alors que le
Printemps
fait éclore les
fleurs :
J’aime encore celui qui répand les
douceurs
De son
funèbre
chant
sur les eaux
de Méandre.
J’aime l’unique
oiseau
qui renaît de sa
cendre,
Des Colombes
aussi me plaisent les ardeurs,
Et les feux
amoureux
qui vont brûlant leurs
cœurs,
En ce mois
où
l’amour
d’amour
nous vient surprendre.
Mais je suis tant épris de la
rare
beauté
D’un Merle
solitaire,
à qui la liberté
A été du maillotsac
de mailles pour enfermer un oiseau de proie
au maillot asservie :
Que du
gai
Rossignol,
et du Cygne
à son
tour,
De l’inconnu
Phénix,
et Colombes
j’oublie
Le chant
et la beauté,
la merveille
et l’amour.
En ligne le
09/05/19.
Dernière révision le 06/09/23.