À une portant le
deuil.
Ton
doux
regard
sous cet habit
de deuil,
A je ne sais quelle vertu
latente,
Car pour t’avoir jeté un seul
trait
d’œil,
Je m’éjouis, et soudain je me deuil,
Sûr
de l’amour,
et
douteux en
l’attente,
Je me complains, et puis je me contente,
Tôt me console, et tôt me
désespère,
Et
larmoyant
souvent je ris et chante,
Dont dire faut qu’en ta
face
plaisante
Gît mon malheur
et fortune
prospère.
À une portant le
deuil.
Ton
doux
regard
sous cet habit
de deuil,
A je ne sais quelle vertu
latente,
Car pour t’avoir jeté un seul
trait
d’œil,
Je m’éjouis, et soudain je me deuil,
Sûr
de l’amour,
et
douteux en
l’attente,
Je me complains, et puis je me contente,
Tôt me console, et tôt me
désespère,
Et
larmoyant
souvent je ris et chante,
Dont dire faut qu’en ta
face
plaisante
Gît mon malheur
et fortune
prospère.
En ligne le
22/11/22.
Dernière révision le 11/09/24.