[…]
Qui a vu quelquefois un
Tigre
d’Arménie,
Déchirer, égorger, en la
verte
prairie
Ou le
fauve
animant, ou le bétail
laineux,
Le bourru marcassin, ou le
Daim
dédaigneux.
Il a vu le
combat
de mon Prince
invincible,
Qui seul parmi
l’effroi
court sans crainte
terrible,
Aux plus
fréquents
hasards
de la voisine mort,
Et où des ennemis
le nombre était plus fort.
Pareil à un
Torrent
qui traîne, arrache, emporte,
Les Arbres,
les Rochers,
et la Digue moins forte,
Le vent
demeure arrière, et ses élancements
Font un
soudain
reflux de contre-mouvements.
[…]
[…]
Qui a vu quelquefois un
Tigre
d’Arménie,
Déchirer, égorger, en la
verte
prairie
Ou le
fauve
animant, ou le bétail
laineux,
Le bourru marcassin, ou le
Daim
dédaigneux.
Il a vu le
combat
de mon Prince
invincible,
Qui seul parmi
l’effroi
court sans crainte
terrible,
Aux plus
fréquents
hasards
de la voisine mort,
Et où des ennemis
le nombre était plus fort.
Pareil à un
Torrent
qui traîne, arrache, emporte,
Les Arbres,
les Rochers,
et la Digue moins forte,
Le vent
demeure arrière, et ses élancements
Font un
soudain
reflux de contre-mouvements.
[…]
En ligne le
08/01/11.
Dernière révision le 14/12/20.