Lieu plus heureux que n’est
tout lieu
terrein,
Où s’arrêta ce
saint
corps
gracieux,
Quand doucement vers moi dressa ses
yeux,
Qui rendaient l’air
tout autour d’eux
serein.
Plutôt
serait bas le ciel
souverain,
Et
le froid
chaud,
et
l’or non
précieux,
Que je ne fusse à jamais soucieux,
Et souvenant du
doux
semblant
humain.
Toutes les fois que ce lieu reverrai,
M’enclinerai pour chercher les brisées
De ces beaux
pieds,
que toujours j’ensuivrai.
Mais si
amour
ne dort en nos
pensées,
Ami
Sénuce, au moins quand la verras,
D’un soupiret
pour moi la prieras.
Lieu
plus heureux que n’est
tout lieu
terrein,
Où
s’arrêta
ce saint
corps
gracieux,
Quand doucement vers moi
dressa ses yeux,
Qui rendaient
l’air
tout autour d’eux
serein.
Plutôt
serait bas le ciel
souverain,
Et le froid
chaud,
et
l’or non
précieux,
Que je ne fusse
à jamais soucieux,
Et souvenant du
doux
semblant
humain.
Toutes
les fois que ce lieu reverrai,
M’enclinerai
pour chercher les brisées
De ces
beaux
pieds, que toujours j’ensuivrai.
Mais
si amour
ne dort en nos
pensées,
Ami
Sénuce, au moins
quand la verras,
D’un
soupiret
pour moi la prieras.
En ligne le
04/06/24.
Dernière révision le 21/12/24.