Qui
voudra faire un ciel d’étoiles
croître,
Qui
du soleil augmenter la
splendeur,
Et
qui les dieux surmonter
en grandeur,
Et
l’océan
encore d’eaux accroître :
Cestui aussi (présomptueux)
peut-être
De ma déesse
accroîtra la valeur,
Et de mes pleurs
l’inestimé
malheur,
Dessous lequel mon astre
me fit naître.
Le
ciel,
le jour,
les hauts
dieux, n’ont en soi
Plus de flambeaux,
de lueur, de puissance,
Pour gouverner cette
ronde
machine :
Que de
beautés
en ma dame
je vois,
Et que dans moi d’une même
balance
J’ai de
douleur
qui me consomme et mine.
Qui
voudra faire un ciel d’étoiles
croître,
Qui
du soleil augmenter la
splendeur,
Et
qui les dieux surmonter
en grandeur,
Et
l’océan
encore d’eaux accroître :
Cestui aussi (présomptueux) peut-être
De ma déesse
accroîtra la valeur,
Et de mes pleurs
l’inestimé
malheur,
Dessous lequel mon astre
me fit naître.
Le
ciel,
le jour,
les hauts
dieux, n’ont en soi
Plus de flambeaux,
de lueur, de puissance,
Pour gouverner cette
ronde
machine :
Que de
beautés
en ma dame
je vois,
Et que dans moi d’une même
balance
J’ai de
douleur
qui me consomme et mine.
En ligne le
23/07/23.
Dernière révision le 23/07/23.