L’air
parfumé
de cette
douce
haleine,
Qui charmerait aussi bien les
esprits
Au fils
ailé
de la
belle
Cypris,
Comme au
mignon
de la troupe
neuvaine.
Ces
cheveux
d’or
plus que n’est pas
l’arène,
Pour qui l’on tient
Pactole
en si
grand
prix :
Ces
cheveux
(dis-je) en qui serait bien pris
Le cœur
félon
d’une
bête
inhumaine.
Enfin cet
œil
dont le monde
est
emblé,
M’ont tellement charmé, pris, et
brûlé,
Par sa douceur,
par leurs nœuds,
par sa flamme :
Que mes
esprits,
que mon âme,
et mon cœur,
Charmés, pris, arse, en tel
air,
nœuds,
chaleur,
Ne semblent plus être
esprits,
cœur,
et âme.
L’air
parfumé
de cette
douce
haleine,
Qui charmerait aussi bien les
esprits
Au fils
ailé
de la
belle
Cypris,
Comme au
mignon
de la troupe
neuvaine.
Ces
cheveux
d’or
plus que n’est pas
l’arène,
Pour qui l’on tient
Pactole
en si
grand
prix :
Ces
cheveux
(dis-je)
en qui serait bien pris
Le cœur
félon
d’une
bête
inhumaine.
Enfin cet
œil
dont le monde
est
emblé,
M’ont tellement charmé, pris, et
brûlé,
Par sa douceur,
par leurs nœuds,
par sa flamme :
Que mes
esprits,
que mon âme,
et mon cœur,
Charmés, pris, arse, en tel
air,
nœuds,
chaleur,
Ne semblent plus être
esprits,
cœur,
et âme.
En ligne le
02/10/20.
Dernière révision le 15/08/23.