COmme
on voit quelquefois le
Sacre
audacieux,
Pourchassant le Héron
d’une haine
mortelle,
Se perdre dedans
l’air
d’une si
hautaine
aile,
Qu’on dirait qu’il voudrait écheler les
hauts
cieux,
Et puis incontinent refondre en ces bas
lieux
D’un cingler plus
isnel,
et d’une
force
telle
S’enferrer
l’estomac
de la propre allumelle,
Du Héron
qui meurtrit le Sacre
injurieux :
Ainsi voit-on souvent sur cette
terre
basse,
Les sacres
des Enfers
qui d’une
fière
audace
Pourchassent à la
mort
ma colombe
aux yeux
verts,
Qui tendant de son
bec
cette
pointe
aiguisée,
Des sacres
met à mort
la troupe
déguisée :
Car son bec
peut fausser les
portes
des Enfers.
COmme
on voit quelquefois le
Sacre
audacieux,
Pourchassant le Héron
d’une haine
mortelle,
Se perdre dedans
l’air
d’une si
hautaine
aile,
Qu’on dirait qu’il voudrait écheler les
hauts
cieux,
Et puis incontinent refondre en ces bas
lieux
D’un cingler plus
isnel, et d’une
force
telle
S’enferrer
l’estomac
de la propre allumelle,
Du Héron
qui meurtrit le Sacre
injurieux :
Ainsi voit-on souvent sur cette
terre
basse,
Les sacres
des Enfers
qui d’une
fière
audace
Pourchassent à la
mort
ma colombe
aux yeux
verts,
Qui tendant de son
bec
cette
pointe
aiguisée,
Des sacres
met à mort
la troupe
déguisée :
Car son bec
peut fausser les
portes
des Enfers.
En ligne le
09/10/05,
versé dans l’anthologie des comparaisons le
29/01/19.
Dernière révision le 08/01/24.