Du
bel
émail
ondoyant en la
prée
Doré
de l’œil
de ce
grand
Univers,
Du doux
fredon
de mille oiseaux
divers
Entre lesquels
Progné
plus nous recrée,
D’une
guiterre
en cent nœuds
diaprée,
D’un luth
plus
doux
propre à chanter les
vers,
Ni de l’odeur
de ces
beaux
lauriers
verts,
Odeur
qui est au
blond
Phébus
sacrée,
De tout cela si peu je me contente
(Tant la fureur
de mon mal
me tourmente)
Que tant s’en faut que j’en sois réjoui.
J’irai fuyant le lieu de ces
plaisirs
Jusque je sois de ma divine ouï,
Et qu’elle ait mis un
but
à mes désirs.
Du
bel
émail
ondoyant en la
prée
Doré
de l’œil
de ce
grand
Univers,
Du doux
fredon
de mille oiseaux
divers
Entre lesquels
Progné
plus nous recrée,
D’une
guiterre
en cent nœuds
diaprée,
D’un luth
plus
doux
propre à chanter les
vers,
Ni de l’odeur
de ces
beaux
lauriers
verts,
Odeur
qui est au
blond
Phébus
sacrée,
De tout cela si peu je me contente
(Tant
la fureur
de mon mal
me tourmente)
Que tant s’en faut que j’en sois réjoui.
J’irai fuyant le lieu de ces
plaisirs
Jusque je sois de ma divine ouï,
Et qu’elle ait mis un
but
à mes désirs.
En ligne le
02/07/22.
Dernière révision le 23/07/23.