Bien que j’aye souvent de
l’ennuyeux
malheur,
Que béni soit le
jour
que j’eus cette
faveur
D’approcher vos
beautés
des beautés
l’excellence.
Que béni soit le
jour
que j’éloignai la
France,
Pour voir les monts
pointus
du Tu’-Géant
sans peur,
Que béni soit le
jour
qu’un poignard
garde-honneur
Me servit
empourpré
d’une
heureuse
défense.
Que tu sois très
bénite, et que très béni soit
Le peuple
au doux
regard,
porte-paix,
sauve-droit,
Qui me vit surmonter les
orgueilleux
gendarmes.
Cher
secours
désiré,
advienne après mille
ans
Que la postérité
renommant les Amants
Bénisse nos ardeurs,
nos soupirs,
et nos larmes.
QUe béni soit le jour de ma belle naissance,
Bien que j’aye souvent de
l’ennuyeux
malheur,
Que béni soit le
jour
que j’eus cette
faveur
D’approcher vos
beautés
des beautés
l’excellence.
Que béni soit le
jour
que j’éloignai la
France,
Pour voir les monts
pointus
du Tu’-Géant
sans peur,
Que béni soit le
jour
qu’un poignard
garde-honneur
Me servit
empourpré
d’une
heureuse
défense.
Que tu sois très
bénite, et que très béni soit
Le peuple
au doux
regard,
porte-paix,
sauve-droit,
Qui me vit surmonter les
orgueilleux
gendarmes.
Cher
secours
désiré,
advienne après mille
ans
Que la postérité
renommant les Amants
Bénisse nos ardeurs,
nos soupirs,
et nos larmes.
En ligne le
15/04/16.
Dernière révision le 29/06/21.