Ainsi qu’au
temps
d’airain
les trop
audacieux
Montagne
sur montagne
à perte
d’œil
levèrent,
Et qu’ensemble d’accord au
sommet
arrivèrent
Essayant d’écheler la
muraille
des cieux :
En la
même
façon
mes
téméraires
yeux
L’un sur l’autre
penser
mes désirs
élevèrent,
Qui puis après unis de monter
s’éprouvèrent
À la cime
des monts
du doux
Loir
gracieux,
Mais au point de l’abord
ces enfants
de la terre
Trébuchèrent punis sous le
feu
du tonnerre,
Aussi mes
fols
pensers
sous un œil
punissant
Tombèrent
foudroyés en ma
raison
malade,
Dont un soupir
de feu
suis depuis vomissant
Qui me fait ressembler un second
Encelade.
Ainsi
qu’au
temps
d’airain
les trop
audacieux
Montagne
sur montagne
à perte
d’œil
levèrent,
Et qu’ensemble
d’accord au
sommet
arrivèrent
Essayant
d’écheler la
muraille
des cieux :
En la
même
façon
mes
téméraires
yeux
L’un sur
l’autre
penser
mes désirs
élevèrent,
Qui puis après
unis de monter s’éprouvèrent
À la
cime
des monts
du doux
Loir
gracieux,
Mais
au point de l’abord ces
enfants
de la terre
Trébuchèrent
punis sous le
feu
du tonnerre,
Aussi
mes
fols
pensers
sous un œil
punissant
Tombèrent
foudroyés en ma
raison
malade,
Dont un
soupir
de feu
suis depuis vomissant
Qui me fait ressembler un
second
Encelade.
En ligne le
05/05/20.
Dernière révision le 13/06/22.