disposition de la
recollection
(vers 1-11 → 14)
Vos
yeux,
belle
Diane, ont autant de
puissance
Qu’une
arquebuse
à roue :
et vos
sourcils
voûtés,
Ce sont deux arcs
Turquois,
qui rendent surmontés
Les cœurs
qui pensent plus faire de
résistance.
Votre
front
c’est le marbre,
où
l’archer
qui m’offense
Aiguise à mon
malheur
ses traits
de tous côtés :
Votre
chaste
estomac,
le séjour
des beautés,
La prison,
qui me garde en votre
obéissance.
Pour
mieux me détenir, de
votre poil
doré
Avez fait les liens
dont je suis enserré :
Puis votre
dur
refus
est mon
dernier
supplice.
Ainsi donc je reçois par la
rigueur
du sort,
Par la vôtre, ma
Dame,
et pour votre service,
Le
feu,
le
fer,
prison,
les
chaînes,
et la
mort.
Vos
yeux,
belle
Diane, ont autant de
puissance
Qu’une
arquebuse
à roue :
et vos
sourcils
voûtés,
Ce sont deux arcs
Turquois, qui rendent surmontés
Les cœurs
qui pensent plus faire de
résistance.
Votre
front
c’est le
marbre, où
l’archer
qui m’offense
Aiguise à mon
malheur
ses traits
de tous côtés :
Votre
chaste
estomac,
le séjour
des beautés,
La prison, qui me garde en votre
obéissance.
Pour
mieux me détenir,
de votre poil
doré
Avez fait les liens
dont je suis enserré :
Puis votre
dur
refus
est mon
dernier
supplice.
Ainsi donc je reçois par la
rigueur
du sort,
Par la vôtre, ma
Dame,
et pour votre service,
Le
feu, le
fer, prison, les
chaînes, et la
mort.
En ligne le
04/08/21.
Dernière révision le 28/10/24.