Il estoit
iour,
& ia
l’Aube
pourpree
Laissant le bord de
l’Orient
perleux
Reconduisoit sur ce
rond
spacieux
A pas
ardans
sa charette
azuree.
Deia par tout la
torche
desiree
Du Cynthien
paroissoit à noz
yeux,
Et renfermant le chariot
nuiteux,
Il decouuroit sa
perruque
doree.
Quand i’aperceu
droitement à costé
L’Astre
besson
de cete
grand
beauté,
Qui reluisoit à l’enui de
l’Aurore.
Pardon, ô Dieux, vous
n’auez dans le
Ciel
Nimfe
qui ait tant
d’apas,
n’y de miel,
Tant de douceurs,
n’y de graces
encore.
Il estoit
iour,
& ia
l’Aube
pourpree
Laissant le bord de
l’Orient
perleux
Reconduisoit sur ce
rond
spacieux
A pas
ardans
sa charette
azuree.
Deia par tout la
torche
desiree
Du Cynthien
paroissoit à noz
yeux,
Et renfermant le chariot
nuiteux,
Il decouuroit sa
perruque
doree.
Quand i’aperceu
droitement à costé
L’Astre
besson
de cete
grand
beauté,
Qui reluisoit à l’enui de
l’Aurore.
Pardon, ô Dieux, vous
n’auez dans le
Ciel
Nimfe
qui ait tant
d’apas,
n’y de miel,
Tant de douceurs,
n’y de graces
encore.
En ligne le
09/09/18.
Dernière révision le 20/03/23.