i.
QUand
on arrêtera la course coutumière
Du grand Courrier des Cieux,
qui porte la lumière :
Quand
on arrêtera l’an
qui roule toujours
Sur un char attelé de mois, d’heures, de
jours :
Quand
on arrêtera
l’armée vagabonde
Qui va courant, la nuit par le vide des cieux,
Décochant contre nous les longs traits de ses yeux :
Lors on arrêtera
l’inconstance
du Monde.
i.
QUand
on arrêtera la course coutumière
Du grand Courrier des Cieux,
qui porte la lumière :
Quand
on arrêtera l’an
qui roule toujours
Sur un char attelé de mois, d’heures, de
jours :
Quand
on arrêtera
l’armée vagabonde
Qui va courant, la nuit par le vide des cieux,
Décochant contre nous les longs traits de ses yeux :
Lors on arrêtera
l’inconstance
du Monde.
En ligne le 30/04/23.
Dernière révision le 11/06/23.