disposition de la
recollection
(vers 1-11 → 12-13)
T
PAr
mon chemin,
ou que la
pluie
épaisse
Mouille sans fin, sans fin noye mon
dos,
Ou
qu’égaré je me regarde enclos
Deçà delà d’un
vallon
qui se baisse :
Ou de
l’hiver,
la rigueur,
la rudesse
Gèle mon sang,
mes moelles,
mes os,
Lorsque la
bise
au souffle
bien
dispos
Le nez,
les yeux,
les oreilles
me fesse :
Ou bien
qu’un
fleuve
à son
ravineux
cours,
Ou qu’un
rocher
domicile des ours
|| Offre à mes
pas
son passage
effroyable :
J’ai
méprisé
la
pluie,
le
val
creux,
Le
froid,
les
eaux,
le
rocher
dangereux
Au souvenir
d’un visage
agréable.
T
PAr
mon chemin,
ou que la
pluie
épaisse
Mouille sans fin, sans fin noye mon
dos,
Ou
qu’égaré je me regarde enclos
Deçà delà d’un
vallon
qui se baisse :
Ou de
l’hiver,
la rigueur,
la rudesse
Gèle mon sang,
mes moelles,
mes os,
Lorsque la
bise
au souffle
bien
dispos
Le nez,
les yeux,
les oreilles
me fesse :
Ou bien
qu’un
fleuve
à son
ravineux
cours,
Ou qu’un
rocher
domicile des ours
|| Offre à
mes
pas
son passage
effroyable :
J’ai
méprisé
la
pluie,
le
val
creux,
Le
froid,
les
eaux,
le
rocher
dangereux
Au souvenir
d’un visage
agréable.
En ligne le
19/04/19.
Dernière révision le 31/12/23.