T
PAr
mon chemin,
ou que la pluie
épaisse
Mouille sans fin, sans fin noye mon
dos,
Ou qu’égaré je me regarde enclos
Deçà delà d’un
vallon
qui se baisse :
Ou de
l’hiver,
la rigueur,
la rudesse
Gèle mon sang,
mes moelles,
mes os,
Lorsque la
bise
au souffle
bien
dispos
Le nez,
les yeux,
les oreilles
me fesse :
Ou bien qu’un
fleuve
à son
ravineux
cours,
Ou qu’un rocher
domicile des ours
Offre à mes pas
son passage
effroyable :
J’ai
méprisé la
pluie,
le val
creux,
Le froid,
les eaux,
le rocher
dangereux
Au souvenir
d’un visage
agréable.
T
PAr
mon chemin,
ou que la pluie
épaisse
Mouille sans fin, sans fin noye mon
dos,
Ou qu’égaré je me regarde enclos
Deçà delà d’un
vallon
qui se baisse :
Ou de
l’hiver,
la rigueur,
la rudesse
Gèle mon sang,
mes moelles,
mes os,
Lorsque la
bise
au souffle
bien
dispos
Le nez,
les yeux,
les oreilles
me fesse :
Ou bien qu’un
fleuve
à son
ravineux
cours,
Ou qu’un rocher
domicile des ours
Offre à mes pas
son passage
effroyable :
J’ai
méprisé la
pluie,
le val
creux,
Le froid,
les eaux,
le rocher
dangereux
Au souvenir
d’un visage
agréable.
En ligne le
19/04/19.
Dernière révision le 31/12/23.